Je me dédouble. Ça et là. Dans la vraie vie je ris aux éclats, je me paye la tete des uns et je chambre les autres. Je me fais beaucoup et amoureusement chambrer en retour. Chez moi, même quand il fait gris, il fait toujours beau.
Comment dire… je veux dire que même sur le point de vivre le déluge, personne n’en sait quelque chose.
Je suis tout sourire. Et ce n’est même pas hypocrite. Je me plais plus dans le sourire, quand je suis dans la douleur ,que quand c’est le contraire. Tu m’auras compris.
Et là je le vois passer. Il m’a regardé avec des yeux…oh mon dieu ! Je vous demande pardon !
Si je me mettais à le décrire, personne ne me croirait…
si je me mettais à l’aimer, là maintenant…on m’internerait.
Je m’en vais avant de commencer à broder…
crédit photo inconnu
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4 commentaires:
à quand l'acte 2 scène 1 alors ?
oui a kan!!!
koikoi
pourquoi t'internerait-on ? t'imagines si on avait interné tous les amoureux ??
aime et fais toi internet ! et puisque que tu te plais dans le sourire. Même amoureuse et internée tu souriras. C'est tellement mieux que ceux qui font des choses sensées et raisonnables et qui continuent d'agir sur terre comme des gens normaux alors qu'ils aimeraient faire un truc fou bourré de sentiments et d'émotions quitte à se faire interner! Nous agissons de plus en plus comme des robots.
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